Conte de fesses

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il y a 7 ans

Conte de fesses

Dans un pays et une époque qui n'étaient pas, finalement, très éloignés des nôtres, régnait Wanda, la reine noire. Elle avait épousé le roi vieillissant et veuf de ce pays, qui n'avait guère de charisme, ni d'habileté pour gouverner. Par ce mariage, elle avait pris la direction du royaume qu'elle menait d'une main de fer dans un gant de soie. D'une beauté fascinante et ténébreuse, la relation qu'elle entretenait avec son peuple était un rapport de domination amoureux et mystique. Hommes et femmes l'adoraient et, lorsqu'elle se montrait en public, se bousculaient l'honneur d'embrasser ses bottes de cuir luisantes. Quand elle rendait la justice, comme elle châtiait elle-même les délinquants, on disait que certains commettaient des larcins uniquement pour enchaînés à ses pieds et être fouettés par elle.

Quand au vieux roi, elle l'avait installé dans une aile du château, entouré de concubines. Ainsi il s'amusait dans son coin, libre de responsabilités, tandis qu'elle maintenait la cohésion sociale, dans l'amour et l'obéissance. Chacun ainsi y trouvait son compte et coulait des jours heureux.

Un jour, elle se trouvait dans ses appartements. A ses pieds gisait Hélios, le capitaine des gardes, nu et attaché comme un saucisson, les yeux bandés. Pas que les yeux, d'ailleurs : il venait de subir la morsure du fouet et son sexe était aussi droit que le donjon, ce qui donnait fortement à Wanda l'envie de s'empaler dessus mais une maîtresse authentique ne s'abaisse pas ainsi avec ses soumis ! Elle le laissa à son sort et pendant qu'il réclamait qu'on le batte plus encore, elle alla s'admirer dans sa glace, un grand miroir au cadre d'ébène et d'argent finement ciselé. Elle ne portait sur elle que ses bottes, ses longs gants noirs, la chaînette qui faisait le tour de sa taille et celle qui reliait les anneaux qui perçaient chacun de ses bout de seins. Avant de décider si elle passait à la cravache où à la sodomisation par godemiché, il fallait qu'elle se calme. Sa main gantée de velours vint se poser sur son sexe lisse et trempé. Elle se masturbait en fixant son reflet :

  • Miroir, miroir, murmura-t-elle, dis moi que je suis la plus bandante, la plus troublante, celle qui fait fantasmer tout le royaume...

Il faut savoir que la reine était aussi sorcière et que son miroir était habité (quelqu'un à un jeu de mot à faire?) par un familier puissant.

  • Heu...Je suis désolé, Majesté, mais...Dit une voix dans la glace.

Soudain l'image de la reine disparut, remplacée par celle d'une femme d'environ vingt ans, à la peau tout aussi laiteuse, aux cheveux tout aussi sombres. Nue elle aussi, elle n'était pas épilée et sa touffe d'un noir profond faisait le plus bel effet au milieu de son corps blanc.

  • Mais c'est pas vrai ! Grinça la reine entre ses dents (au moment où elle approchait de l'orgasme, cette image venait de lui casser son excitation) Encore cette petite conne de Blanche !

Blanche était la fille unique de son époux, le vieux roi. Sa beauté rivalisait avec celle de sa marâtre, en plus jeune, mais si la reine noire était une femme intelligente ayant le sens de ses responsabilités, la princesse Blanche n'avait qu'un petit pois dans la tête (et pourtant c'était une authentique brune, comme quoi...) Elle passait ses journées à minauder et à provoquer tous les hommes. Dans le miroir, Wanda vit sa belle-fille qui se baignait, en tenue d'Eve, dans la rivière qui traversait la campagne, tout en fredonnant « Un jour mon prince viendra » quand elle s'aperçut qu'un homme la regardait. Il s'agissait d'un haut fonctionnaire de la cour. Blanche couvrit le bas de son ventre et ses seins avec ses mains en s'écriant :

  • Voyons, Messire, détournez le regard, je suis horriblement gênée !...

  • Tu parles, grommelait la reine, il lui suffirait d'aller se cacher sous les arbres, où se trouvent ses habits, en plus !

Mais l'homme s'était dépouillé de ses vêtement lui aussi et venait vers la princesse, la verge fièrement érigée devant lui.

  • Ho la la, Messire, mais c'est de la folie, continuait Blanche sans reculer, et sans quitter le membre (de bonne taille, il fallait bien le reconnaître) des yeux. Vous êtes mariés, je suis une princesse...Non, cela est mal ! Il ne faut pas !dit elle encore en se mettant à genoux et le prenant dans sa bouche.

  • MAIS QUELLE GOURDE ! Explosa Wanda, tout en abattant sa cravache sur les fesses d'Helios pour passer sa colère.

  • Ho oui, Maîtresse ! Merci Maîtresse ! S'écria celui-ci.

Elle lui asséna un grand coup de botte.

  • Et toi, imbécile ! Au lieu de prendre ton pied, je vais te confier une mission. Blanche s'envoie tous les hommes du royaume, mariés ou pas, il y a des règlements de comptes dans les familles, des crimes passionnels, des suicides...Tu vas me débarrasser d'elle, les intérêts de l'Etat l'exigent ! Demain, tu l'emmèneras au plus profond de la forêt....

  • Oui Majesté, dit Hélios. Là, je la tuerai et je vous ramènerai son coeur dans un coffret...

  • MAIS NON, IDIOT ! On est pas dans un conte de Perrault ici ! Tu la laisses à l'entrée du territoire des nains. Ils sont mes sujets aussi, dans le fond ! Et ils seront contents de la recueillir, les nains manquent de femmes. Comme ça au moins la paix reviendra dans les familles et tout le monde sera content.

Le lendemain, Blanche fut ravie de l'invitation d'Hélios à une ballade en forêt : le capitaine était un des rares hommes à ne pas encore l'avoir baisée, à tel point qu'elle en mettait son orientation sexuelle en doute. En fait, Hélios était tout entier consacré à la reine et ne s'intéressait guère à cette princesse stupide et nymphomane !

  • Ho la la, capitaine ! Gloussait elle, comme c'est agréable de se promener dans la nature avec vous, en ces jours de...printemps ! Ajouta-t-elle en observant deux insectes accouplés sur une feuille. Vous savez à quoi je pense ? Les gens vont jaser...Mais bon ce que disent les gens, hein...( Elle papillonna des yeux en disant ça)

Ils s'enfonçaient toujours plus loin dans les bois et Hélios n'avait toujours rien tenté, ce qui commençait à irriter Blanche. Elle décida alors de précipiter les choses. S'éloignant un peu dans un coin touffu, elle se laissa tomber en poussant un hurlement, faisant en sorte de provoquer un maximum de bruit de branchettes cassées, de feuilles froissées...Elle était à genoux, penchée en avant, et retroussa sa jupe dans son dos, découvrant son fessier comme si c'était une conséquence de sa chute, et se mit à crier :

  • Capitaine Hélios ! Je suis tombée et j'ai bien peur de m'être cassée quelque chose ! Venez à mon secours, je vous en prie !

Il n'y eu aucune réponse. Seule une brise tiède vint caresser son périnée ainsi exposé. Elle écarta d'avantage ses cuisses, et en creusant les reins une touffe d'herbe vint chatouiller son clitoris, ce qui fit monter d'un degré la chaleur qui lui brûlait le ventre... et le faisait couler en même temps !

  • Mais qu'est ce qu'il fout ? Ou plutôt...Pourquoi il ne fout pas ?...

Sur un sentier non loin de là, marchait en file indienne une troupe de nains, sept exactement. Leurs noms ne nous est pas parvenus, même si certains les ont imaginés, sauf celui du dernier de la file. C'était un simple d'esprit, dont la barbe n'avait jamais poussé, qui (signe évident chez les nains de déficience). On l'appelait Gogol (Plus tard un cinéaste politiquement correct adoucit son surnom en « Simplet »). Ces nains, toute la journée, creusaient la terre à la recherche de pierres précieuses. Lorsqu'ils en trouvaient, ils s'empressaient d'aller les revendre en ville pour dépenser l'argent en beuveries et en débauches avec des ribaudes. Quand ils n'en trouvaient pas, ce qui était souvent le cas, pas de ribaudes, alors c'était Gogol qui en faisait fonction, afin de soulager les pulsions priapiques de ses six compagnons. Voila qui explique pourquoi, dans leurs déplacements, il se plaçait toujours en dernier, particulièrement les jours comme celui-ci où les sept rentraient bredouilles. Ils ne chantaient pas une niaiserie sur le fait de rentrer du boulot mais une vieille chanson graveleuse de leur peuple :

« C'est nous, les fiers nains de la mine,

En outils on est bien fourni,

Et on sait les astiquer.

Champions, champions d'la barre a mine,

Aucun trou n'peut résister,

Car on sait bien les fourrer. »

(L'air nous est parvenu avec d'autres paroles : « C'est nous les gars de la marine... »)

  • Halte ! Cria leur chef. Il renifla, sentez vous ce que nous amène le vent ?

  • Nous sommes loin de la mer, dit un autre. C'est donc une femelle en chaleur.

A pas de loups, guidés par leur odorat aussi développé que leur libido, ils furent bientôt en vue d'un spectacle enchanteur : une jeune personne accroupie dans les buissons, dont on ne voyait qu'une croupe rebondie et blanche, surmontant deux cuisses fuselées, et entre elles, une charmante crevasse bordée de poils d'ébène. Sept nouveaux champignons, à la chair rose et au chapeau rouge surgirent d'un coup dans la forêt...

Blanche devait se rendre à l'évidence, rester dans cette posture ne servait à rien, Hélios était parti.

  • C'est donc vrai qu'il est pédé ! Se dit elle amèrement.

Mais au moment où elle allait se redresser, elle se sentit brusquement pénétrée par un membre comme elle n'en avait jamais connu auparavant.

  • Ho ! Quelle énorme...Erreur ! S'écria-t-elle, regrettant aussitôt ses idées sur l'homosexualité du capitaine. Il la remplissait par des va et viens d'une vigueur qui lui faisait oublier bien des anciens amants...

  • Mon Dieu, Capitaine, haletait-elle, Hooooo !!!! Dès demain je vous fais nommer commandant ! Non, je vous fais nommer colonel ! NON !!!!! GENERAL !!!!

Elle avait jouit plusieurs fois quand elle se sentit inondée de long jets chauds...Mais avant qu'elle n'ait le temps de se retourner, radieuse, pour faire face à son bienfaiteur, elle était à nouveau possédée, transpercée par une longue tige.

  • Capitaine ! Comme je comprends que vous soyez chef d'un corps d'élite ! Toujours prêt à repartir à l'assaut !

Six fois d'affilée elle fut ainsi prise. Comme il y eu une accalmie, elle osa timidement demander :

  • J'ai lu dans un magazine qu'en numérologie, le six n'est pas un bon chiffre...Le sept, par contre...Elle n'eu pas le temps d'achever sa phrase. Elle poussa un grand cri : elle était exaucée, mais pas par le même orifice que les six premières fois. Certes, son petit trou en avait vu d'autres, mais dans des proportions plus modestes ! Elle eu d'abord mal, puis s'habitua, et, accompagnant la manoeuvre avec ses doigts par devant, finit par avoir un orgasme encore plus fort que les précédents.

Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu'elle fit enfin volte-face, de voir non pas Hélios, mais sept petits hommes barbus (sauf un) avec des sexes qui, au repos, leurs descendaient jusqu'aux genoux. Celui qui semblait être le chef (Son engin était un peu plus long que celui des autres) ôta son bonnet, qu'il avait gardé jusque là (MESSAGE PEDAGOGIQUE : FAITES COMME LES NAINS ! BAISEZ COUVERTS !) Et fit la révérence.

  • Gente Damoiselle, veuillez excuser les manières de Gogol, qui vous a visitée en dernier...Il est, disons...différent ! Et ignore les bonnes m?urs...

  • Hum, dit un autre, on ne lui a peut être pas donné le « bon exemple » non plus...

  • Mais ne vous excusez pas, Messire, répondit Blanche. Je vois que si vos tailles sont petites vous n'en êtes pas moins des gentilshommes forts bien mont... heu...élevés !

Sur ce, elle entreprit d'éclater en sanglots.

  • Aidez moi, je vous en supplie ! Je suis la princesse Blanche, un officier félon m'a perdu en ces lieux sauvages !

  • Ma foi, dit le chef des nains, nous habitons une coquette maison non loin, et nous vous y accueillerons de bon c?ur. Vous serez notre pu...notre amie, et nous serons aux petits soins avec vous !

  • Je crois que j'aimerai vos « petits soins » ! répondit Blanche en passant des larmes au grand sourire....

(A suivre...)

(Merci à ma douce Fleur qui à écrit la chanson des nains )...

Paladin

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